Les contes africains s’articulent autour de personnages emblématiques qui se particularisent par une constance comportementale dans le tissu narratif. Leur récurrence dans l’espace fictionnel à souvent de fâcheuses conséquences sur la vie d’individus considérés comme leurs alter ego dans l’espace social. Dans ce cadre, La belle-mère des familles reste souvent tributaire du poids hérité des méchancetés de la belle-mère marâtre des contes. Aussi, apparait-il d’une impérieuse nécessité de la réhabiliter à travers des contes plus avantageux à son égard. Mots clés : Belle-mère-monstre-richesses-marâtre-contes.